C’est une vielle dame qui est appelée par son banquier. Il lui explique qu’il y a des mouvements anormaux sur son compte en banque et qu’il ne comprend pas comment elle parvient à mettre autant d’argent de côté malgré sa petite retraite. A ce jour, elle a 100 000 euros sur son compte courant et d’autres sommes sur un livret A et son PEL.
– Je gagne beaucoup d’argent grâce à des paris, répond la vielle dame.
– Quel genre de pari ? Vous jouez aux courses, PMU ?
– Non, j’organise des paris avec des amis et connaissances, et je gagne toujours.
– Vous gagnez toujours ? Comment est-ce possible, demande le banquier ?
– Eh bien, c’est simple, je vais vous le prouver. Je veux bien parier la somme 10 000 euros avec vous que demain matin, je prendrai vos roubignoles en main. Si vous acceptez, vous recevrez 10.000 euros.
– Quoi ?! Mais vous êtes folle ! Et le banquier met fin à la conversation.
Toute la nuit, il se retourne dans sont lit. Pour un directeur d’une petite agence, 10.000 euros est une grosse somme. Finalement, il décide d’accepter le pari et le lendemain matin, il téléphone à la vieille dame pour le dire qu’il relève le pari. Celle-ci arrive rapidement, accompagnée de son avocat, en tant qu’observateur impartial, précise-t-elle.
Aussitôt, le banquier baisse son pantalon et la vieille dame empoigne ses roubignoles.
L’avocat se met alors à hurler.
– Qu’avez-vous à crier comme ça, demande le banquier ?
– Je n’en reviens pas, répond l’avocat dépité.
Cette dame a prétendu ce matin qu’elle empoignerait les roubignoles de son banquier et j’ai parié 20.000 euros qu’elle ne le ferait pas !